H. Spilling, Die Visio Tnugdali : Eigenart und Stellung in der mittelalterlichen Visionsliteratur bis zum Ende des 12. Jahrhunderts, München : Arbeo-Gesellschaft, 1975.
Marie-Odile Garrigues, L’œuvre d'Honorius Augustodunensis : inventaire critique, 2 vol., Montréal, 1978, p. 365-386 (plus de 50 mss pour la version latine ; plus de 150 mss pour les traductions, en plusieurs langues vernaculaires).
N.F. Palmer, Visio Tnugdali. The german and deutsch translations and their circulation in the later Middle Ages, Munich, 1982.
P. Dinzelbacher, Mittelalterliche Visionsliteratur : eine Anthologie, Darmstadt : Wissenschaftliche Buchgesellschaft, 1989, p. 86 (affirme plus de 150 mss pour la version latine).
U. Neddermeyer, Von der Handschrift zum gedruckten Buch, 2 vol., Wiesbaden, 1998, vol. II, p. 746 (signale 169 mss sur la base de l'étude de Palmer, sans en donner la liste).
B. Pfeil, Die Vision des Tnugdalus Albers von Windberg: Literatur- und Frömmigkeitsgeschichte im ausgehenden 12. Jahrhundert, mit einer Edition der lateinischen "Visio Tnugdali" aus Clm 22254, Frankfurt A.M., 1999.
Version latine primitive en prose rimée, écrite en Allemagne, sans doute à Ratisbonne, au XIIe s. (1149). Comprend 24 chapitres, un prologue et une conclusion et fait partie des "visions" médiévales apocalyptiques. - "Le chevalier Tondale visite en esprit le royaume de la mort avant de retourner au bout de trois jours dans sa dépouille inanimée, épouvanté et repenti...".
D'après Garrigues, l’œuvre est d'Honorius Augustodunensis.
Institut de recherche et d'histoire des textes (IRHT-CNRS), "Notice
de Visio Tnugdali, , dans Pascale Bourgain, Dominique Stutzmann, FAMA : Œuvres latines médiévales à succès, 2015 (permalink : https://fama.irht.cnrs.fr/oeuvre/254320). Consultation du 21/11/2024.